Comme en 2022 et en 2023, Vincent va participer au Cyclo-Défi de l’ICUPQ (Institut Universitaire de Cardiologie et de Pneumologie de Québec) sur la distance de 100km. L’an passé, l’évènement a permis d’amasser 356 779$ et grâce à votre générosité et celles des compagnies de fonds, nous avons été capable d’accumuler 2 720$.
Pour 2024, nous faisons encore une fois appel à votre générosité et nous nous engageons encore cette année à doubler les dons que vous allez faire. Nous espérons atteindre la barre du 3 000$ cette année et nous avons déjà commencer à approcher les compagnies de fonds.
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Peak a signé une entente de distribution avec Desjardins nous permettant d’avoir accès à leur fonds communs ainsi que leur billet à capital protégé. Cela veut dire que si vous avez des placements chez Desjardins que vous aimeriez conserver mais que vous voudriez que ce soit nous qui les gérions, c’est à présent possible.
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Le mois de mars a été marqué par les résultats d’inflations au Canada qui a continué à baisser pour atteindre 2.8%, combiné à un taux de chômage relativement stable (4.4% pour le Québec) et le PIB positif pour le 4e trimestre 2023 à la surprise générale. Cela permet au Canada d’éviter la récession et démontre une belle résilience de notre économie. Le seul impact négatif est que la première baisse de taux devrait arriver plus tard que tôt, soit quelque part entre mai et juillet.
Du côté des États-Unis, les performances de la bourse ont fait fit d’une inflation qui reste en haut des 3% et d’un rappel de la FED que les baisses de taux devraient être limitées à 3 durant l’année pour atteindre de nouveaux sommets. La première baisse de taux ne devrait pas arriver avant juin ou juillet. L’autre bonne nouvelle vient du fait que les 7 magnifiques commencent à progressivement prendre moins de place dans l’indice du S&P500, démontrant que le reste de l’économie américaine rebondit bien.
La majorité des principaux indices ont progressé au cours de la semaine de négociation écourtée, clôturant ainsi un trimestre de fortes hausses. L’indice S&P 500 a enregistré de nouveaux records de clôture et intrajournaliers à la fin de la semaine.
Mardi, le département du commerce a indiqué que les commandes de biens durables avaient augmenté de 1,4 % en février, soit un peu plus que prévu, bien qu’une partie de l’augmentation soit due à une révision de la forte baisse de janvier, qui est passée de 6,2 % à 6,9 %. Si l’on exclut les segments volatils de la défense et de l’aéronautique – un indicateur considéré comme reflétant plus étroitement les plans de dépenses des entreprises – les commandes ont augmenté de 0,7 %, soit beaucoup plus que prévu et en inversant partiellement deux mois de baisse. Les ventes de maisons neuves ont chuté de manière inattendue en février, mais l’annonce de cette baisse est intervenue dans le sillage de l’annonce précédente d’un bond des ventes de maisons existantes.
Les consommateurs sont plus positifs mais restent inquiets :
Les indicateurs de consommation sont mitigés. Mardi, le Conference Board a annoncé que son indice de confiance des consommateurs avait légèrement baissé en mars, défiant les attentes du consensus qui prévoyait une augmentation. « L’évaluation de la situation actuelle par les consommateurs s’est améliorée en mars », a noté le chercheur en chef du Conference Board, « mais ils sont également devenus plus pessimistes quant à l’avenir ».
L’indice composé S&P/TSX a progressé de 0,27 % pour clôturer à 22 167 jeudi, dernier jour d’une courte semaine de Pâques, prolongeant son record grâce au soutien des valeurs liées aux matières premières.
Le secteur de l’énergie a connu une augmentation moyenne de 0,83 % en raison de la hausse des prix du pétrole, tandis que les métaux précieux ont également contribué positivement, Barrick Gold ayant fait un bond de 2,46 %. Selon les estimations, le PIB du Canada a augmenté de 0,4 % en février, après une expansion de 0,6 % en janvier, ce qui indique que l’économie résiste et prend de l’élan.
L’indice STOXX Europe 600 atteignant un record intrajournalier et gagnant 0,59 % en monnaie locale. Les marchés ont progressé malgré la confirmation d’un ralentissement significatif dans certaines grandes économies.
Le Royaume-Uni entre en récession au quatrième trimestre :
L’Office britannique des statistiques nationales a confirmé jeudi que le pays était entré en récession technique pour la première fois depuis début 2020, l’économie s’étant contractée de 0,3 % au dernier trimestre 2023, après une contraction de 0,1 % au troisième trimestre.
Le moral des consommateurs s’améliore dans la zone euro :
Peut-être en raison de l’apaisement des inquiétudes liées à l’énergie dans la région, les données suggèrent que les consommateurs européens deviennent un peu plus optimistes. Jeudi, la Commission européenne a indiqué que son indicateur de confiance des consommateurs avait atteint son niveau le plus élevé depuis plus de deux ans, grâce à des « attentes légèrement moins pessimistes concernant la situation économique générale ». Selon le rapport, les projets d’achats importants des consommateurs sont restés stables et la confiance des industriels s’est légèrement améliorée.
L’économie allemande montre des signes de faiblesse :
L’Office fédéral de la statistique allemand a indiqué que les ventes au détail avaient chuté de 1,9 % en février, bien en deçà des attentes du consensus qui tablait sur une légère augmentation, et qu’il s’agissait de la plus forte baisse en 17 mois. Par ailleurs, les principaux instituts économiques allemands ont déclaré qu’ils s’attendaient à ce que l’économie du pays connaisse une croissance de 0,1 % en 2024, réduisant ainsi la prévision précédente de 1,3 %. Les taux d’intérêt élevés, la faiblesse de la demande mondiale et l’incertitude politique ont réduit les espoirs d’une reprise plus forte.
Les marchés boursiers japonais ont chuté au cours de la journée de jeudi. Les investisseurs se sont concentrés sur la forte dépréciation du yen, qui a frôlé les 152 yens par rapport au dollar américain, ce qui est perçu par beaucoup comme un point qui pourrait inciter les autorités à intervenir sur les marchés des changes pour soutenir la monnaie japonaise. Les trois principales autorités monétaires du pays ont laissé entendre, après leur réunion de mercredi, qu’elles pourraient être prêtes à organiser une telle intervention, ce qui constitue l’indice le plus fort à ce jour et après que le yen a atteint son niveau le plus bas en 34 ans. La faiblesse historique du yen a profité à de nombreux exportateurs japonais à forte capitalisation, qui tirent une part importante de leurs revenus de l’étranger.
Le taux de l’obligation d’État japonaise à 10 ans est tombé à environ 0,70 % jeudi, contre 0,74 % à la fin de la semaine précédente. Cette évolution fait suite au changement historique de la politique monétaire de la Banque du Japon (BoJ), qui a relevé les taux d’intérêt à partir du territoire négatif pour la première fois depuis environ sept ans. Les attentes du marché semblent converger vers deux autres hausses des taux d’intérêt de la BoJ en l’espace d’un an.
Un membre du conseil d’administration de la BoJ a déclaré que la fin de la politique de taux négatifs de la banque centrale était une première étape vers la normalisation de la politique monétaire. Ces mesures ont été prises en réponse aux signes indiquant que les salaires augmentaient en même temps que les prix, une condition préalable souvent répétée pour que la BoJ modifie sa politique. Néanmoins, la politique monétaire du Japon reste l’une des plus accommodantes au monde, et les conditions financières devraient également rester accommodantes, pour le moment.
Sources: Placements Mackenzie, Bloomberg, Barron’s, The Wall Street Journal, Reuters, FactSet, CNBC.
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